Certains, visiblement, sont perdus dans la nouvelle interface de l’espace privé. Apparemment, ces jours-ci, Muriel (le 31 août mais je l’ai validé aujourd’hui) et Pierre (aujourd’hui même) ont eu quelques difficultés à écrire. Pierre est passé par la rédaction d’une brève que je vous invite à lire.
Nouvelle procédure pour écrire un article (je vous conseille de l’imprimer !).
- vous êtes dans l’espace public et soudain vous prend l’envie d’écrire... Surtout ne la réprimez pas ! Si vous êtes “ connecté ” il vous suffit de cliquer sur Espace privé que vous avez en deux endroits : en haut à droite ou au milieu dans la colonne de gauche. Sinon, dans la colonne de gauche, cliquer sur Connexion. Procédure habituelle d’identification. Je rappelle au passage que la rubrique Entre nous n’est visible et donc accessible que si vous êtes connecté. Puis accès à l’espace privé.
- vous êtes dans l’espace privé et c’est là que la procédure diffère un peu. Apparaissent toutes les rubriques. Vous sélectionnez celle dans laquelle vous voulez écrire : exemple Du monde entier... puis vous sélectionnez la sous-rubrique qui vous intéresse : exemple Pebray pour Pierre.
- Dans la nouvelle page qui s’affiche, juste après les articles déjà écrits de cette rubrique (éventuellement sous-rubrique), vous cliquez sur Ecrire un nouvel article.
- Pas de changement dans l’écriture de l’article (la palette est plus riche puisque vous pouvez écrire en couleur, eh oui, et insérer des smileys ou frimousses). Bien sûr, on n’oublie pas d’enregistrer.
- Pour la publication en ligne, légère modification. Cela se passe désormais dans le cartouche qui contient (en très gros et gras, en haut et à gauche) le numéro de l’article :
- Il suffit de cliquer sur publié en ligne. Ne soyez pas intimidé par le message d’alerte qui apparaît : vous persévérez, non mais !
En principe, ça marche et vous pouvez lire immédiatement votre propre prose...
Fort de ce précieux mode d’emploi, chacun des rédacteurs habituels aura à cœur de laisser un petit mot ; me trompé-je ?
Bises à tous.
B.