Ca n’a pas pu vous échapper. Au moins à cause de la couleur. D’ailleurs, il n’y a que ça de visible, le changement de couleurs. Sauf que, comme la pub de Bifidus Actif, je me sens mieux de l’intérieur... Parce que les entrailles de l’écureuil sont bien mieux organisées.

En deux mots, hier soir, à minuit (pour éviter que les visiteurs ne soient troublés, j’opère nuitamment), je décide de rémédier aux petits tracas intestinaux de SPIP. A minuit trente, j’avais fait mes petites affaires, et à minuit trente cinq, le site était planté, mais alors planté grave. J’étais quand même confiant, la base de données n’était pas plantée. Alors j’ai entrepris un travail de détective pour remonter à la source des ennuis. Mission remplie à deux heures trente du matin. Et à cette heure là, je ne me suis pas senti le courage de modifier la couleur. En principe, je dis bien en principe, il ne devrait plus y avoir de souci pour Répondre à un article. Si vous notez des dysfonctionnements, n’hésitez pas à râler et à écrire un article pour vous plaindre... Je m’interroge quand même sur ceux qui balancent des nouvelles versions d’un logiciel (heureusement libre) sans un minimum de tests sur différentes configurations et de sites et de navigateurs (ça plantait à la fois sur Safari et sur Firefox). Dans le même ordre d’idées, une petite anecdote : au self, jeudi midi, un collègue interroge à la cantonade : "Vous savez ce qui est arrivé à l’hôtel en face du circuit ? La toiture est effondrée, c’est un incendie ?". Une collègue s’esclaffe : "Non, non, la toiture vient juste d’être refaite et c’est le charpentier qui avait oublié une cheville !". Donc je remercie chaleureusement le charpentier qui a oublié la cheville dans la nouvelle version de SPIP.

A la lecture de l’épisode de la tranchée à La Guillotte cf jeudi matin, j’ai bien rigolé ; effectivement, ça avait été une épopée... Ce qui est rigolo, c’est que la phrase-culte : "Le monde se divise en deux catégories, ...." je l’ai souvent entendue sur France-Inter : elle servait (sert encore ?) de phrase introductive au papier de Philippe Colin en fin d’après-midi, l’an dernier. Avec le changement de grille (Frédéric Bono, comme Là-bas si j’y suis a été avancé en milieu d’après-midi), j’ai perdu la trace de Colin et la voix doublée de Clint Eastwood. Pour dater l’épisode raconté par Gérald, j’ai eu bien du mal. Avant 69, c’est sûr, puisque Line n’y a pas assisté, mais je crois que Thierry avait bien treize ou quatorze ans, puisqu’il avait droit de manier la pelle et le pic. P... ! que le sol était dur ! Creuser une tranchée à Seignosse, c’est quand même moins stressant.

Line est revenue ce matin (samedi) juste à temps pour qu’on aille au restaurant (huîtres et poissons). Après-midi cool et un peu de jardinage (j’ai ramené de Nogaro, prélevés sur un talus, des mini-cyclamens qui, s’ils s’étalent feront un tapis dans le bosquet...

Je vous laisse pour ce soir...

Bises à tous !

Bernard.