que le schmilblic n’avançait pas ! Et d’ailleurs, cette semaine la fréquentation avait bien baissé. La lecture précède-t-elle l’écriture ou l’inverse ? Je veux dire : si on ne va pas lire, forcément, on n’écrira pas... Et si on n’écrit pas, il n’y aura pas de quoi lire, alors à quoi bon faire un tour sur les Trimailleurs ? Donc, merci à Gérald d’avoir relancé le schmilblic.
Semaine un peu éprouvante pour moi : je suis rentré mercredi pour pouvoir aller voir jeud matin, à Saint Jean de Luz, l’anesthésiste. Lequel m’a reçu avec une heure de retard. Pour m’annonver que le 23, l’opération, c’était pas possible. Pour faire bref, 350 kilomètres pour rien !!! Et la course pour être à 15h30 à Nogaro devant mes élèves.
Au rayon des bonnes nouvelles, le nouveau plan de circulation aux Oyats. Eh oui, le chemin d’accès au garage a été dévié, l’escalier n’est plus (paix à son âme) et nous voilà avec une immensité à aménager, planter... Comme qui dirait, l’angoisse de la page blanche pour un écrivain.
En plus des copies et autres joyeusetés, se profilent les conseils de classe, épreuve que je trouve de plus en plus pénible : trop de problèmes à gérer et pas le moindre soupçon de commencement de solution à apporter. Ce doit être le syndrome de la fin de carrière ; en début de carrière, le conseil de classe, je le vivais comme une justification de mon boulot, l’endroit où je donnais à voir mon travail à travers les résultats des élèves. Trente ans après, c’est le rocher de Sysiphe : trop lourd et la pente à remonter trop raide et les muscles fatigués... J’arrête mes élucubrations de vieux...
Pour changer de registre, je vous envoie quelques photos des travaux, surtout à l’intention de Ugo. Ah si j’étais conducteur de tracto-pelle !
Bises à tous...