Je viens de rentrer. Semaine de travail terminée. Sur les rotules comme un vieux tas qui se traîne.
Demain, préparer les cours de la semaine et recevoir un artisan pour faire un devis pour la dalle plus une petite réunion de travail sur un scénario. Samedi et dimanche, continuation du travail scolaire par petites bribes. Au moins je n’ai aucun souci pour trouver quoi faire de mes jours et de mes dix doigts.
Les dossiers pour le voyage à Rome en février sont quasi bouclés. Il faut attendre la réponse des subventionneurs. J’attends aussi la réponse des mêmes subventionneurs (Conseil Régional) de l’action poésie que je vais mener dans ma classe de 2°. Les profs de la tribu comprendront la pénibilité des tâches attachées au mot dossier. Je crois n’avoir pas besoin de leur faire un dessin. Les autres ne peuvent pas imaginer ces joies : je les leur souhaite...
Je vois que Google m’a dénoncé en tant qu’auteur de chanson. C’est une chanson chantée par la très belle Miren, femme de Jean Louis Hargous. Tout le disque est en basque. Seule mon texte est chanté en français. J’avais écrit une dizaine de textes pour Jean Louis ; c’est le seul qui ait "abouti". Mais c’est une très très vieille histoire...
Catherine (la fille ainée de Thérèse, je précise pour les jeunes générations et les "éléments rapportés" comme on dit) m’a écrit pour me dire du bien des dernières productions Poïein (elle en a même acheté, mais chuttt... secret....) et aussi le plus grand bien du feuilleton de Bernard qui continue sur les ondes trimailleuses avec toujours la même grâce et la même intelligence. Je pense que des consulteurs du site poïein vont y jeter un oeil ou même deux. Car il y a maintenant synergie entre trimailleurs et poïein. Comme disait l’autre, la soupe fait l’oignon (je ne me souviens plus bien du proverbe exact).
Le mot extra trimailleurs de Renaud était très heureux et très bienvenu. A qui le tour ? Ce peut même être un mot intra-trimailleurs...
En attendant l’heureux jour d’une communication abondante et fluide et joyeuse sur cet espce, je vous lance une brassée de bises ételoniennes.
Gérald
