Série 2 Jour G.

dimanche 16 décembre 2007
par  Bernard Castéras
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Où l’on retourne aux dures réalités.

Décor.

Décor de carton-pâte. Personnages figés, poses hiératiques. La tâche rouge sur le buste du personnage dans sa guérite intrigue. Un premier agrandissement : des lettres. Au second coup de zoom, le mot cœur.

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Réminiscence : dans Blow Up d’Antonioni, le personnage principal, photographe, intrigué par un détail infime sur une de ses photos, l’agrandit, encore et encore. Et plus la photo est agrandie jusqu’à la démesure, plus on sent l’œil du personnage se concentrer, obsédé par ce détail qui échappe, qui ne fait pas sens.

Texte à demi-mot, au sens littéral : coupé en deux dans le sens de la hauteur. Comme un clap de cinéma. Décalé. Incongrue, alors, la guérite. Morts sous haute surveillance. Zombies sous contrôle. Les "men in black" veillent.

Craindrait-on une évasion ?


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