Trente et un : en guise de conclusion.

jeudi 28 août 2008
par  Bernard Castéras
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Habituellement, c’est dans un prologue ou une préface que les intentions sont explicitées... Foin des traditions, je remonte le fil du temps : comment est venue cette idée saugrenue du pourquoi se lever le matin ? D’une chronique matinale samedi et dimanche sur France-Inter. Interview d’une personne du monde du spectacle ou des arts : quatre ou cinq questions, toujours les mêmes, la question centrale étant celle qui nous a préoccupés... Et c’est parce que cette question en a destabilisé plus d’un que j’ai proposé ce challenge à G. : alimenter chaque jour, en alternance, le site d’un texte sans contraintes autour de cette question. Merci donc à Isa Lou REGEN.

J’avais en tête d’imaginer une galerie de personnages, aussi différents que possible. Une manière de ne pas me dévoiler. G. a choisi, lui, la voie de l’introspection et s’en est tenu à de subtiles variations littéraires, ce qui a infléchi mon projet initial. L’irruption de Renaud, à un rythme soutenu et dans des registres très variés, et l’intervention inopinée de Pierre, ont apporté beaucoup de fantaisie. Merci à chacun d’eux pour avoir relevé le défi et, chaque matin, s’être levé pour une raison supplémentaire : faire vivre le feuilleton.

À l’arrivée, une véritable auberge espagnole : chacun peut y trouver son compte (son conte ?). Vous penserez peut-être qu’aucun des intervenants n’a vraiment répondu à la question et vous restez peut-être sur votre faim. Pas sûr ! Chacun y a laissé quelques petits cailloux jalonnant sa vie...

Et vous, qu’auriez vous répondu ?


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