Je reviens d’une semaine à Montauban auprès de Pierre et Maman.
C’est à Montauban que Maman et moi avons vécu en direct la tempête du siècle (de samedi dernier). Assez effrayante, faut dire. Nous étions sans cesse collés aux fenêtres à surveiller la résistance des cèdres. Ils ont (...)

J’ai rencontré Maram El Masri à Bourges. Séance de clôture du Salon de la petite édition. Pour lire, elle s’est parée : caftan blanc, ceinture d’or, boucles d’oreille, chevelure noire tressée. Elle connaît ses poèmes par cœur. Elle les susurre en arabe dans le (...)

B.F., ce sont mes belles-filles.
A., ce fut la première. J’étais son prof de je ne sais plus quoi. Mon fils était de son âge. Je trouvais qu’A. avait tout ce qui m’aurait fait tomber amoureux lorsque j’avais l’âge de mon fils. Elle avait de longs cheveux noirs (...)

H., c’est Hawad.
Je le rencontre à Bourges. Soirée d’ouverture du salon de la petite édition. Hawad est l’écrivain invité. Dans la salle, il y a ses livres, parmi des milliers d’autres. Au mur, il y a ses peintures. Ce sont des toiles saturées de signes. Des lettres de (...)

Y. et Z., c’est , mettons Yves et Zoé. Lui, assez âgé, des lunettes, visage austère. Elle, plus jeune, un peu ronde, une belle peau. Ils sont serrés-collés. Ils écoutent mi-effrayés, mi–souriants mes commentaires des deux premières vitrines de l’exposition « Les livres de (...)